Chapitre VII : La vision d'un guerrier

ACTE VII : La porte du libre arbitre

Une forêt marécageuse !
Une forêt marécageuse !

Scène 2 : La vision d'un guerrier bis

STEVEN :

 

Je me suis évanoui... J'ai l'impression que je suis seul s'être réveillé. Je vois mes amis, ils sont immobiles allongés dans des lits rustiques. Je n'ai pas assez de force pour leur porter secours mais je prie... je leur envoie de bonnes pensées à chacun. Je me suis relié avec eux, nos aventures ont renforcé notre amitié. Jamais je ne les abandonnerai... Je resterai présent...

 

NARRATEUR : 

 

Notre cher leader ne put garder très longtemps conscience et dû se laisser aller de nouveaux descendre dans les bras de Morphée plongé dans un sommeil ans rêve !

Il ne pût voir un étrange phénomène apparaître près de leurs corps inertes : Une forme mi-femme mi-oiseau d'où un feux étincelait d'une lumière divine !

Une belle apparition !
Une belle apparition !

Le cyclope qui commençait son machiavélique plan de tueur assoifé de sang, ne put vaincre cette alliée d'une beauté sans précédent. Il fût ébloui et pris d'une peur panique se figea dans l'instant et disparu !

Cet être majestueux était le phénix, cette bête légendaire a la particularité de renaître de ces cendres : d'avoir le don de redonner la vie mais également de trnasmettre la mort de ses ennemis.

 

STEVEN :

 

Miracle ! Je suis encore en vie et mes amis aussi ! Comment est-ce possible ? Je me retrouve dans une cabane en bois et je suis couché dans une couchette de feuilles à la Robinson Crusoé. J'entends du bruit de l'autre côté. Mais qui est notre sauveur derrière cette porte faîtes de branches et de feuillages ?

Je suis encore en phase de récupération. Sommes-nous enfin à la fin de notre périple laborieux au sein du Temple Mystère ?

Mes yeux se ferment, je dois me reposer, il est important de retrouver toute mon énergie et ma force vitale.

 

NARRATEUR : 

 

Le phénix a repris sa forme humaine pour soigner ses hôtes. Elle est d'une beauté étourdissante, il y a de la douceur, une fragilité qui ferait chavirer le plus dure des êtres humains.

Même le cyclope de son yeux unique ne put qu'accepter sa défaite. Bien qu'à ce moment-là, je crois bien qu'il y avait de la peur de se faire mettre en morceau ! Comme quoi derrière une fragilité, il faut se méfier.

 

Les pauvres petits malheureux ! Il y a des blessures qui vont au-delà de l'aspect physique, ils sont comme entre la vie et la mort ! Il faudra qu'elle utilise sa médecine ancestrale enseignée par toute une lignée de guérisseurs pour ramener à la vie ces hommes et ces femmes de cette planète TERRE !